Jeanne Painchaud, avec les katagamis sur photo d’Ivan Sigg
Presque seul
souper
avec la nouvelle lune
Ces haïkus sont d’une légèreté pleine d’amour blessé qu’on ne se lasse pas de relire. Quant aux katagamis d’Ivan Sigg, ils sont à la fois simples, primitifs et complexes.
Jean Antonini, GONG, revue francophone de haïku (janvier-mars 2012, n°34)