Marc Delouze est né à Paris, il vit entre La Goutte d’Or (Paris) et la Puisaye (Bourgogne).
Il est poète et voyageur « par la force des choses ».
Son premier recueil est paru en 1971, Souvenirs de la Maison des Mots, (précédé de Par manière de Testament, préface d’Aragon).
Quelques années plus tard, se refusant à « faire le poète », il s’installe dans un silence éditorial d’une vingtaine d’années, pendant lesquelles il travaille à la recherche de nouveaux supports d’expression poétique, liés à la Cité d’aujourd’hui : spectacles de rue, poésie musicale, interventions diverses.
En 1982, il crée l’association Les Parvis Poétiques qui organise des événements, des festivals, des expositions sonores, des lectures-spectacles, etc.
Il est créateur et animateur du Festival Permanent des poésies dans le 18è arrondissement depuis 1990.
Co-fondateur et conseiller littéraire du festival de poésie Les Voix de la Méditerranée, à Lodève.
Ses dernières publications : T’es beaucoup à te croire tout seul, poème, (La passe du vent, 2000) ; La Diagonale des poètes, essai, (La passe du vent, 2002) ;L’homme qui fermait les yeux sans baisser les paupières, récit, (Le bruit des autres, 2002) ; Epouvantails, poèmes, (Lanore-littérature, 2002) ; rue des martyrs, récit, (Le bruit des autres, 2003) ; Dames de chœur, récit, (Le bruit des autres, 2004) ; Des poètes aux Parvis, anthologie, (La passe du vent, 2007) ; Yeou, Piéton des Terres, poème, (La passe du vent, 2007) ; C’est le monde qui parle, récit, (Verdier, 2007) ; 14975 jours entre – Poésies en phase terminale (2011) et Souvenirs de la maison des mots (1971), (poèmes, La passe du vent, 2011).
La Lune bleue a publié en 2012 L’homme qui fermait les yeux, avec les aquarelles de Marc Giai-Miniet.
Son site : http://www.parvispoetiques.fr/