Les Éditions de la Lune bleue vous souhaitent une belle année 2018, riche en rencontres et en découvertes.
Cette année sera celle du changement, de la fin et du début de autre chose…
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Rencontre et lancement
Samedi 28 octobre, la Lune bleue a invité Chantal Couliou pour le lancement de son livre Seul le bleu demeure à la Dame blanche de Port-Louis.
La rencontre à 16h était précédée d’un kukaï qui a accueilli sept participants ; de beaux haïkus ont été échangés. La lecture ensuite fut accompagnée au piano par le musicien-compositeur Arnaud Delpoux, récemment récompensé par le « Coup de coeur de l’Académie Charles Cros » pour ses compositions sur l’album « Oublier Bagdad ».
Merci au public présent ainsi qu’à la Dame blanche pour son accueil chaleureux !
37 et 38 : Vincent Calvet et Chantal Couliou
- Signatures de Tristesse de Robinson avec le poète Vincent Calvet sur le stand de la Lune bleue au Festival Voix Vives de Sète le 25 juillet 2017
- Signatures de Seul le bleu demeure avec la poète Chantal Couliou à Port-Louis le 28 octobre 2017
Nouvelle parution et Rencontre
Le samedi 28 octobre 2017 paraîtra le nouveau livre de la Lune bleue : Seul le bleu demeure de Chantal Couliou, poèmes accompagnés des acryliques de Lydia Padellec. A cette occasion, la Lune bleue vous convie à une rencontre avec la poète à 16h à la Dame blanche, 35 Grande Rue, Port-Louis. Cette rencontre sera précédée à 14h30 par un kukaï dont Chantal Couliou, également haïjin, sera l’invitée d’honneur. Le kukaï se fait par inscription. La rencontre est entrée libre.
Seul le bleu demeure
Chantal Couliou
(avec les acryliques de Lydia Padellec)
(Octobre 2017 – épuisé, sauf TDT)
Extrait :
L’île insaisissable
cousue
de vents et de mystères
trône
au creux du silence.
Vivre
à son bord
est tout un art.
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Soutien aux Trouées poétiques 2018
Les Éditions de la Lune bleue proposent cette année quelques livres de son catalogue pour soutenir l’association Trouées poétiques et son Festival qui se déroulera du 15 au 18 mars 2018.
Pour plus de renseignements : editionslunebleue@yahoo.fr ou troueespoetiques@yahoo.com
Merci !
XXe Festival Voix Vives de Sète
Du 25 au 29 juillet 2017, la Lune bleue tenait un stand sur la place du Pouffre à Sète en compagnie d’autres éditeurs dans le cadre du Festival Voix Vives. Cette année, trois poètes du catalogue étaient invités : Lionel Ray, Aurélia Lassaque et Mérédith Le Dez. Ce fut également l’occasion de faire paraître un nouveau livre – Tristesse de Robinson de Vincent Calvet, poème accompagné des acryliques de Lydia Padellec. Rencontres, lectures et dédicaces. Merci à tous pour cette belle semaine méditerranéenne !
©photos Bikko et L.Padellec
Festival La Houle des Mots
Du 4 au 5 août 2017 se déroule la 1ère édition du Festival La Houle des Mots à Saint Jacut de la Mer. Les poètes Mérédith Le Dez, Laure Morali (Ce que la Lune dit au jour) et Lydia Padellec sont invitées pour des lectures.
La Lune bleue au Festival Voix Vives de Sète
Du 25 au 29 juillet 2017, la Lune bleue aura un stand sur la Place du Livre à Sète lors du 20e Festival Voix Vives. Cette année, trois poètes du catalogue sont invités : Lionel Ray, Aurélia Lassaque et Mérédith Le Dez. D’autres poètes seront aussi présents : Françoise Lonquety, Lydia Padellec et Vincent Calvet dont le livre Tristesse de Robinson paraîtra à cette occasion.
Deux rendez-vous autour des Éditions de la Lune bleue à noter dès à présent :
- Le mercredi 26 juillet de 11h30 à 12h30, « Être éditeur de poésie », rencontre organisée et présentée par Michel Baglin
- Le vendredi 28 juillet de 17h à 18h, « Un poète et son éditeur » avec Enan Burgos autour du livre Chanson de l’air tremblant de Mérédith Le Dez
Programme complet : http://www.sete.voixvivesmediterranee.com/Publications/Programmes_festival/
Tristesse de Robinson
Vincent Calvet
Avec les acryliques de Lydia Padellec
(Juillet 2017)
Extrait
Souvent les brumes du matin caressent son visage,
Ondoyante rivière aux veines silencieuses.
Les mousses, les micas, les pierres de diamant pur.
Elle chante à la lisière.
Le tonnerre a brisé les rocs.
L’orage gronde et ravage les herbages.
Déclivités lourdes écorchées vives.
Des routes désaxées par les tempêtes.
Arbres arrachés montrant leurs tripes
Calcinées.
Les carcasses des ifs.
La douleur du ciel étale sa blancheur.
Tout semble s’apaiser en un même soupir,
Une odeur de buis brûlés.
Après chaque blessure,
On voit jaillir la source,
Au fond imperceptible et mouvant,
Dans le silence clair des labours.
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